(…)
Il ne nous reste qu’à dresser notre propre forêt,
avec à la place des troncs, des branches et des feuilles,
ce feuillage entre-tissé de paroles et de silence,
cette forêt pleine aussi de musiques secrètes,
cette forêt que nous sommes
et où, parfois, chante aussi un oiseau.
(…)
Roberto Juarroz, Quinzième poésie verticale, éditions José Corti
Merci à Mylène pour les mots, à Charles et Mélina pour l’image, à Hubert de Moroges pour son accueil.
EXPRIM au Chateau d’Effiat, juste après la tornade, 2 juillet 2021